Wednesday, March 22, 2006

Le contenue, l'étude et l'approche

2. L’idendification de domaine de l’étude et de la recherche (les domaines en tant que la terminologie)

D’après Cabrol et Grin [ 1], la recherche concernant l’origine de la vie est déjà encadré dans des plusieurs disciplines suivant le concept de recherche. Voyons au court, leurs characteristiques, car au cours de la recherche la démarcation entre eux deviendra de temps en temps importante. Pourtant ceci ne dira que de distinguer la démacation dans nos terminologies, et que le concept de mon étude portera dans l’un ou deux premiers de ces rubriques.

1. Exobiologie – concerne l’étude de la vie dans l’univers qui s’appuye sur les conditions initials de l’émergence de la vie.
2. Bioastronomie – désigne de chercher des planètes situées dans les zones habitables autour d’étoiles hors de notre système solaire.
3. Exopaléontologie – est issue de la recherche les traces d’une vie micro-organique sous forme de fossiles à l’aide des hypothèses d’un climat du passé, vu de la présence des anciennes riviers, de lacs et de volcans sur Mars, par exemple.
4. Astrobiologie – se regroupe des études de l’origine, l’évolution, la distribution et de la destinée de la vie dans l’Univers, dont les trois questions majeures se posent ; comment la vie apparaît et se développe ? La vie existe-t-elle ailleurs dans l’Univers ? Quel est le futur de la vie sur Terre et au-delà de la Terre ?
5. SETI(Search for Extra-Terrestrial Intelligence) – se définit historiquement la recherche des cilivisation possiblement avencée avec des moyens radioastronomique d’en communiquer.

Je voudrais précisier ici, suivant le concept de mon étude antérieur de l’effet biophysique du rayonnement, que la plupart de mon concept corresponde à l’Exobiologie (1), et que l’évidence purement techinique des traces micro-organiques liés aux doses d’irradiation corresponde à une partie de l’Exopléontologie (2). Celui-ci souligne « l’histoire et l’analyse des concepts du champ de recherches exobiologie/bioastronomie », selon la remarque de Florince Raulin-Cerceau.

3. Le contenue de l’étude et de la recherche sur plusieurs pistes.

3.1 L’étude de l’histoire des science exactes.
Au cours de l’étude de la science de l’Univers et de la Terre, il faudrait bien remarquer que deux termes suivants sont les cles de permettre acceder à la matérialisation des substances non-vivant et la fomation de la vie.

1 – Diagramme de H-R ; Comment est-il historiqument inventé et dans quel mesure les moyens techniques observationelles sont-il intégrés ? Quel rapport a-t-il avec l’intensité du rayonnement dans l’Univers ? Quel était ses rapports hypothétiques proposés à l’issue de l’émergence de biophysique dans les années 1900-1940 ou même avant ? Tous ces questions poseront l’appuie sur l’histoire d’invention des techniques astrométriques, photométrique et spectroscopique de l’observation astronomique, supporté par les idées des savants philosophiques alentour de la fin de 19 siècle (Kirchhoff, Bunsen, Flammarion, jusqu’à l’age de physiciens contemporains Hertzsprung-Russel, Gamov et Lemaîttre [ 3] et [ 15]).

2 – Formation du noyau de la Terre – L’hypothèse de l’accrétion homogène et l’accrétion hétérogène du noyau de la Terre suggéré par C. Alègre [ 8] est encore un thème non determiné. L’agglomérat des substances micro-organique et non-vivant [ 9] nous montre que l’environnement de l’atmosphère initial de la Terre dépende largement de ces deux processus, en se differenciant le caractère de réduction (l’atmosphère réduit) et d’oxydation dont l’évidence scientifique de photosynthèse favorise la permière. Ici, mon intérêt est, dans quel mesure y contribue-t-il le processus de synthèse nucléaire des astroparticles (donc en un mot accrétion), quel était l’évidence exacte provenant des substances interstellers, micro- ou macro-météorites. (Selsis, Matrajt et Maurette)

Ces deux cles s’appuye sur l’estimation de l’intensité absolu d’irradiation environnemental favorable pour l’émergence prébiotique, qui se varie selon les divers estimation entre 10 fois plus et 10,000 fois plus que le présent (2 1015 kcal/an). Le premier présume l’origine de la vie sur Terre, le dernier présume l’origine extraterrestre. Lequel est vrai ?

3.2 L’étude épistémologique
Notre étude et recherche nécessite la refléxion critique sur la notion de vie par rapport à l’évolution en temps. Les arguments suivants peuvent être évoqués pour eux donner la place en echelle afin de relier les divers arguments qui seront traités.

1 – La définition de la vie accepté et la redéfinition critique de la vie – Le concept de notre champ de l’étude est largement dù à la notion de l’évolution de la vie, par rapport à la définition lamarquienne et darwinienne (selon Morange [ 10]), mais on sait intuitivement que la notion de l’origine de la vie (selon Maurel) est assez différent. Nous allons étudier, si vraiement cette démarcation épistélologique a des valeurs et des validations pour l’unicité et l’universalité possible (l’expression selon André Brack).
2 – L’emergence de la notion de biophysique ; cette notion est déjà traitée intensivement dans mon mémoire en reliant les trois éléments suivants : la notion de la complémentarité de la physique quantique de Bohr : l’integration des unités de dose physique et biologique au cours des années 1930-1940 : l’effet bénéfique et destructif de la dose extrêmement basse sur la matière bio-moléculaire dont Delbruck a contribué pour l’élucidation la taille de gène. Nous envisageons la refléxion critique sur ce carrefour de divers approches historiques.

3.3 La recherche en tant qu’une science récente et exacte.
1 – La place du rayonnement cosmique ou du procéssus de synthèse d’astroparticules – à partir de l’ultra haute énergie jusqu’à la basse énergie : le mécanisme de CASCADE, notamment le processus de la collision nucléaire en avalanche à basse énergie, comparable à l’effet d’UV.
2 – L’effet bénéfique et destructif de la dose extrêmement basse d’irradiation : a-t-il un sens pour justifier le prométabolisme ou la diversité des métabolismes, étant donné que celui-ci est suggéré par Löwy ?

3.4 L’étude philosophique et sociologique des sciences.
1 – L’analyse structurelle et interactive sur les concepts du champ de recherche exobilogies/bioastronomie. On peut élaborer cette analyse comment les différents chemins contribuable parveniennent à ce champ de recherche.
2 – Représentation des connaissances scientifiques (PUS : Public Understanding of Science en anglais), face à la notion de « Cosmogonie » de Pierre Gisel dans [ 3] ou les divers ouvrages consacrés pour la vulgarisation des scineces. Nous étudions les ouvrages volgarisatrices et l’aspet sociologique de la diffusion des connaissances scientifiques aux plusieur muséum comme MNHN et Grand Palais.

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